J’ai toujours eu une passion pour la psychologie et la psychanalyse : à l’âge de dix-sept ans j’avais déjà lu Freud, Jung et je tentais de saisir Lacan. Autant dire que mes cours de maths ne me passionnaient pas.
J’avais donc logiquement décidé de suivre un cursus de psychologie.
Je le savais au fond de moi, mais je ne l’avais pas réellement formalisé et je me suis rendu compte après trois ans de Fac que j’aimais surtout la psychologie, pour les outils de compréhension des autres et l’étude des comportements qu’elle apporte, mais que je n’étais pas armé pour recevoir toute la journée des patients exprimant leur mal-être.
C’est alors que j’ai croisé dans un couloir de l’université un professeur de psychologie ergonomique qui m’a convaincu de choisir cette spécialisation ainsi qu’une carrière en ergonomie, cela semblait très intéressant et je me suis laissé séduire, car je n’avais alors plus d’objectif très précis.
Il s’agissait d’un cursus de psychologie du travail et ergonomique. Cela a été pour moi une période difficile, la psychologie du travail était passionnante, mais j’avais présumé de l’intérêt que je portais à l’ergonomie, ce vers quoi ce diplôme m’envoyait.
Heureusement, j’ai choisi de me concentrer sur les interactions homme-machine appliquées aux sites Internet et cela m’a sauvé de la dépression. Quoi qu’il en soit, ma motivation était au plus bas et pour couronner le tout, des problèmes ont commencé à émerger avec l’un de mes professeurs au sujet de ma thèse.
J’ai fini par m’expliquer et j’ai indiqué au corps enseignant que j’envisageais de m’orienter ensuite vers les ressources humaines, plus en accord avec mes aspirations et attentes.
Le fait que je ne veuille pas poursuivre dans cette voie n’a pas du tout été bien reçu.
J’ai tenu bon et malgré des rapports houleux et compliqués, j’ai réussi à terminer ma thèse et valider mon année.
J’étais malgré tout à ce moment-là un peu perdu et le retard pris m’empêcha d’être accepté pour l’année universitaire suivante en Master II de Ressources humaines.
Je finis par me questionner sur la réalité de mon intérêt pour cette activité professionnelle. Le recrutement m’intéressait, mais l’activité de gestion humaine et la paye, pour ne citer que ces aspects du travail de RH, me rebutaient.
J’ai préféré alors prendre du recul pendant quelques mois, pour faire le point sur ce que je voulais vraiment et j’ai réalisé que je voulais réellement aider les autres, mais différemment, et une formation de coaching professionnel, une méthode qui responsabilise et autonomise l’autre, m’apparut comme une évidence.
J'ai alors développé mon activité de coaching de carrière et j'ai choisis de m'y consacrer pleinement. J'ai cependant continué à concevoir mes propres sites Web ainsi que ceux de quelques clients.
Je retrouve dans ces deux activités le plaisir de résoudre des problématiques complexes et de trouver les meilleures solutions.
Site de l'association Pau Wright Aviation.
Réalisé et maintenu depuis 2010
Redesign début 2017.
Site de l'association Française de Coaching Scolaire et Etudiant.
Réalisé et maintenu depuis 2008
Redesign mi 2017.
Mon site personnel de Coach Professionnel.
Réalisé et maintenu depuis 2004
Redesign fin 2017.
Le Salon Aéroadour, salon aéronautique des pays de l'Adour.
Réalisé et maintenu depuis 2012
Redesign Avril 2018.